À l'intention de ses plus proches amis (Maurice de Guérin, Trebutien) et de sa « fiancée » (la baronne de Bouglon), Barbey d'Aurevilly a tenu à plusieurs reprises des journaux, paradoxalement destinés d'emblée à être lus et même publiés. On les réunit ici pour la première fois dans leur intégralité.
Proposant une « coupe » dans l'existence au quotidien de l'écrivain à divers moments de son parcours (1835, 1836-1838, 1856, 1858, 1864), ces pages n'offrent pas seulement un éclairage irremplaçable sur l'intimité tourmentée de Barbey. Organiquement solidaires de son œuvre de fiction, elles permettent de mesurer à quel point celle-ci se nourrit d'inquiétudes et d'obsessions vécues au plus secret du Moi.
Philippe Berthier, professeur émérite à la Sorbonne Nouvelle (Paris III), a consacré de nombreux travaux à Barbey d'Aurevilly. En dernier lieu, une édition des Lettres à Trebutien (Bartillat, 2013, Prix Sévigné) et Barbey d'Aurevilly et les humeurs de la Bibliothèque (Champion, 2014).
À l'intention de ses plus proches amis (Maurice de Guérin, Trebutien) et de sa « fiancée » (la baronne de Bouglon), Barbey d'Aurevilly a tenu à plusieurs reprises des journaux, paradoxalement destinés d'emblée à être lus et même publiés. On les réunit ici pour la première fois dans leur intégralité.
Proposant une « coupe » dans l'existence au quotidien de l'écrivain à divers moments de son parcours (1835, 1836-1838, 1856, 1858, 1864), ces pages n'offrent pas seulement un éclairage irremplaçable sur l'intimité tourmentée de Barbey. Organiquement solidaires de son œuvre de fiction, elles permettent de mesurer à quel point celle-ci se nourrit d'inquiétudes et d'obsessions vécues au plus secret du Moi.
Philippe Berthier, professeur émérite à la Sorbonne Nouvelle (Paris III), a consacré de nombreux travaux à Barbey d'Aurevilly. En dernier lieu, une édition des Lettres à Trebutien (Bartillat, 2013, Prix Sévigné) et Barbey d'Aurevilly et les humeurs de la Bibliothèque (Champion, 2014).
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