L’auteur de ce livre aurait pu faire siennes ces paroles de Jean-Jacques Rousseau : « Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de sa nature ; et cet homme ce sera moi. »
Ce livre est le récit d’une enfance et d’une jeunesse provinciales toutes simples, sans événements importants, sans grands personnages, mais chacune de ces pages est imprégnée des parfums et des odeurs oubliés aujourd’hui. Pour Michel Peyramaure, la nostalgie est vivante ; il lui donne corps. Il nous fait pénétrer dans son univers personnel par l’émotion, l’humour, le regard à la fois tendre et précis qu’il porte sur les figures qui ont traversé les premières années de son existence. Les quartiers où il a vécu étaient, dit-il, des « conservatoires de personnages ». Ce n’est plus vrai aujourd’hui où chacun vit replié dans sa coquille, dans son cocon. À cette époque un courant de convivialité reliait maison à maison, rue à rue, quartier à quartier. On vivait petitement, mais on vivait bien.
Michel Peyramaure y raconte son enfance durant l’entre-deux-guerres, son éducation dans l’école primaire à Brive, ses débuts dans la vie (il travaille dans l’imprimerie de son père à Brive), sa passion pour le cinéma, le Brive des années 1940-1950. Il s’agit d’une plongée dans le passé, qui ressuscite le temps retrouvé.
Michel Peyramaure appartient à la fameuse école de Brive. Parmi ses nombreux succès, aux éditions Bartillat, il a également publié Vu du clocher (1999) et La Petite Danseuse de Degas (2007).
L’auteur de ce livre aurait pu faire siennes ces paroles de Jean-Jacques Rousseau : « Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de sa nature ; et cet homme ce sera moi. »
Ce livre est le récit d’une enfance et d’une jeunesse provinciales toutes simples, sans événements importants, sans grands personnages, mais chacune de ces pages est imprégnée des parfums et des odeurs oubliés aujourd’hui. Pour Michel Peyramaure, la nostalgie est vivante ; il lui donne corps. Il nous fait pénétrer dans son univers personnel par l’émotion, l’humour, le regard à la fois tendre et précis qu’il porte sur les figures qui ont traversé les premières années de son existence. Les quartiers où il a vécu étaient, dit-il, des « conservatoires de personnages ». Ce n’est plus vrai aujourd’hui où chacun vit replié dans sa coquille, dans son cocon. À cette époque un courant de convivialité reliait maison à maison, rue à rue, quartier à quartier. On vivait petitement, mais on vivait bien.
Michel Peyramaure y raconte son enfance durant l’entre-deux-guerres, son éducation dans l’école primaire à Brive, ses débuts dans la vie (il travaille dans l’imprimerie de son père à Brive), sa passion pour le cinéma, le Brive des années 1940-1950. Il s’agit d’une plongée dans le passé, qui ressuscite le temps retrouvé.
Michel Peyramaure appartient à la fameuse école de Brive. Parmi ses nombreux succès, aux éditions Bartillat, il a également publié Vu du clocher (1999) et La Petite Danseuse de Degas (2007).
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