Les Récits des temps mérovingiens comptent parmi les grandes œuvres historiques du XIXe siècle. Augustin Thierry étudia le règne des Mérovingiens au VIe siècle à la lumière du dramatique récit de Grégoire de Tours qu’il compléta par les chroniques du temps, les légendes, les poèmes, toutes sortes de documents alors inédits, et résolut de faire revivre en une suite de scènes colorées ce passé barbare et pittoresque. Ces récits sont centrés autour des événements qui agitèrent les règnes des quatre fils de Clotaire Ier : Chilpéric, Sigebert, Gontran, Charibert qui se partagèrent la Gaule ; et des reines fières ou infortunées : Frédégonde, Brunehaut et Galswinthe.
Augustin Thierry fut considéré comme un novateur dans le mode de narration historique. Il faut rendre justice à son style, à l’extraordinaire adresse avec laquelle il sut tirer parti des chroniques anciennes, tout en conservant leur fraîcheur et en leur donnant la pureté d’accent d’une vieille légende. Les compléments de Pierre riche apportent les précisions nécessaires pour resituer ce livre, le plus célèbre d’Augustin Thierry, dans le contexte de sa parution.
Les Récits des temps mérovingiens comptent parmi les grandes œuvres historiques du XIXe siècle. Augustin Thierry étudia le règne des Mérovingiens au VIe siècle à la lumière du dramatique récit de Grégoire de Tours qu’il compléta par les chroniques du temps, les légendes, les poèmes, toutes sortes de documents alors inédits, et résolut de faire revivre en une suite de scènes colorées ce passé barbare et pittoresque. Ces récits sont centrés autour des événements qui agitèrent les règnes des quatre fils de Clotaire Ier : Chilpéric, Sigebert, Gontran, Charibert qui se partagèrent la Gaule ; et des reines fières ou infortunées : Frédégonde, Brunehaut et Galswinthe.
Augustin Thierry fut considéré comme un novateur dans le mode de narration historique. Il faut rendre justice à son style, à l’extraordinaire adresse avec laquelle il sut tirer parti des chroniques anciennes, tout en conservant leur fraîcheur et en leur donnant la pureté d’accent d’une vieille légende. Les compléments de Pierre riche apportent les précisions nécessaires pour resituer ce livre, le plus célèbre d’Augustin Thierry, dans le contexte de sa parution.
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