En 1882 un jeune poète fait sensation en Amérique : il s’appelle Oscar Wilde et n’a encore publié aucun de ses grands livres.
Pourtant, de New York à Atlanta et de San Francisco à Montréal, il reçoit un accueil de rock star d’aujourd’hui, ovationné par des foules de disciples qui agitent des fleurs de lys et de tournesol en signe d’allégeance à la « renaissance des arts » qu’il prône en héraut de l’esthétisme, à la fois philosophie de la modernité et programme pratique pour le renouveau du design.
Les vingt-deux meilleures interviews de Wilde, sur les quatre-vingt-dix-huit qu’il donna à des journaux américains, constituent un témoignage exceptionnel sur le grand mouvement intellectuel que fut l’esthétisme, d’une étonnante actualité, et sur un philosophe artiste pour qui la presse est un théâtre où il écrit sa première grande œuvre.
En 1882 un jeune poète fait sensation en Amérique : il s’appelle Oscar Wilde et n’a encore publié aucun de ses grands livres.
Pourtant, de New York à Atlanta et de San Francisco à Montréal, il reçoit un accueil de rock star d’aujourd’hui, ovationné par des foules de disciples qui agitent des fleurs de lys et de tournesol en signe d’allégeance à la « renaissance des arts » qu’il prône en héraut de l’esthétisme, à la fois philosophie de la modernité et programme pratique pour le renouveau du design.
Les vingt-deux meilleures interviews de Wilde, sur les quatre-vingt-dix-huit qu’il donna à des journaux américains, constituent un témoignage exceptionnel sur le grand mouvement intellectuel que fut l’esthétisme, d’une étonnante actualité, et sur un philosophe artiste pour qui la presse est un théâtre où il écrit sa première grande œuvre.
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