La Revue nocturne s'inspire directement d'une gravure de Raffet, qui représenta l'aventure napoléonienne de manière grandiose et sublime. Le contenu du livre est à l'image de l'illustration qui orne le bandeau de l'ouvrage. Ce roman aurait pu s'intituler “Le dernier monologue de Napoléon”. La force du récit y est très puissante. Avec une précision qui n'exclut pas l'ampleur, Bertrand Ailleret se place dans la conscience de l'Empereur, alors reclus sur son rocher de Sainte-Hélène, et qui dans une ultime fièvre se remémore sa vie exceptionnelle, sublime et tragique.
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